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11 décembre 2013 3 11 /12 /décembre /2013 09:52
1 CORINTHIENS 12 uni, unité
1 SAMUEL 03 me voici
1 SAMUEL 16 un regard à prisme
1 SAMUEL 3 Samuel, Samuel…
EXODE 19 sur les ailes de l'aigle
JEAN 04 la samaritaine
JEAN 20 la paix soit avec vous
JEAN 20, 01 - 10 du vide au plein
JEAN 20, 19 - 31 espérance
LUC 01, 39 - 56 Marie
LUC 02, 22 - 40 Anne la prophétesse
LUC 13, 01 - 09 pourquoi ?
LUC 14, 01 - 06 préjugés
LUC 15, 01 - 2, 11 - 32 un père avait deux fils…
LUC 21, 05 - 19 un temple ?
MARC 02, 01 - 12  
MARC 04, 26 - 34 de l'inespoir à l'espérance
MARC 04, 26 - 34 une semence et une graine
MARC 06, 01 - 06 ah ! La famille !
MARC 06, 07 - 13 envoi en mission d'après une prédication de Bettina Cottin
MARC 06, 30 - 34 un troupeau
MARC 07, 01 - 23 loi…
MARC 07, 01 - 23 moi, rabbin ashkenase orthodoxe ?
MARC 10, 35 - 45 il allait devant eux…
MARC 13, 24 - 32 fin du monde ?
Marc 13, 33 - 37 ophtalmologie pour Grégoire
MATTHIEU 01, 18 - 25 Joseph
MATTHIEU 02 carapace ou charpente ?
MATTHIEU 04, 01 - 11 le contrat de Faust
MATTHIEU 13 paraboles…(2)
MATTHIEU 13 paraboles…(1)
MATTHIEU 14 une pause… d'été
MATTHIEU 16 signes
MATTHIEU 16 et vous, qui dites-vous que je suis ?
MATTHIEU 21  ici Radio - Carcassonne
MATTHIEU 21, 28 - 32 inconstance ?
MATTHIEU 22, 34 - 40 commandements
MATTHIEU 24, 37 - 44 Viens, Seigneur Jésus !
MATTHIEU 28, 16 - 20 Dieu avec nous
PSAUME 119 le regard de Dieu
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9 décembre 2013 1 09 /12 /décembre /2013 18:45

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9 décembre 2013 1 09 /12 /décembre /2013 18:44

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9 décembre 2013 1 09 /12 /décembre /2013 18:35

 

 

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9 décembre 2013 1 09 /12 /décembre /2013 18:32

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9 décembre 2013 1 09 /12 /décembre /2013 11:02

Cher(e)s ami(e)s

 

 Un petit, non, un grand et magnifique extra d’Avent. Nos frères et soeurs de la paroisse du Marais à Paris partagent avec nous deux cultes “Crescendo” vécus hier dans leur temple... avec Benjamin Ducasse au violon et Evelyne Cohen !!!

 

Qui, parmi vous, n’a pas visionné une ou deux vidéos de Protestants en Fête 2013  (si ce n’est déjà fait, vous pourriez faire un petit tour de ce côté là, si le coeur vous en dit, of course), et écouté avec délice l’incroyable chorale dirigée par John Featherstone ? Il est le porteur avec son équipe de ces cultes musicaux de louange et de méditation dénommés “Crescendo” (http://www.johnfeatherstone.com/) et le concepteur de CD “Degrés”.

 

Deux cultes « Crescendo » en 3 parties… les deux premières (culte de 17 h 30)  quelque peu perturbées par des mini-ruptures de son et des arrêts intempestifs (il faut cliquer sur la bande de temps qui défile en bas pour redémarrer) mais même ces problèmes techniques ne lèvent en moi aucun agacement tant la force de la musique emplit l’espace et mon intériorité, un temps de culte habité à n’en pas douter… Sinon, passez au culte de 19 h : http://www.livestream.com/templedumarais/video?clipId=pla_6d4c2024-0064-47e9-b69d-c4f517e2d0f7&utm_source=lslibrary&utm_medium=ui-thumb

 

Attendre, écouter, aimer…

 

Amitiés

Jo

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7 décembre 2013 6 07 /12 /décembre /2013 18:27

Chers ami(e)s

Et nous voilà, une fois de plus dans le week end Téléthon. Personne n’y échappe… et comment pourrait-il en aller autrement ? Nous savons aujourd’hui que tant d’enfants et d’adultes ne sont pas fous mais malades et c’est un pas de géant qui a ainsi été franchi. Il y a les maladies connues que l’on soigne et celle dont ont ne sait rien ou si peu et qui sont le cauchemar des malades qui en sont atteints. Aujourd’hui, c’est responsables et souriants que je souhaite vous imaginer à réception de ce courriel, un peu tardif pour cause de journée superbe, ensoleillée et toute de ciel azuré. Quel privilège de pouvoir aller marcher en bord de mer, dans des sentiers de montagne, ou en pleine campagne… sans un attirail insupportable, parfois douloureux. Oui, je rends grâce de disposer de mes deux jambes et de mes deux bras, de ma tête aussi (enfin, me semble-t-il…). Aussi, voici, si le cœur vous en dit, quelques vidéos d’un grand, très grand clown qui lui n’avait aucune myopathie… à moins que faire le pitre soit aussi  quelque part une espèce de maladie… j’ai découvert des scènes que je n’avais jamais visionnées : sa première participation au tout premier téléthon américain : http://translate.google.fr/translate?hl=fr&sl=en&u=http://mentalfloss.com/article/12397/brief-history-jerry-lewis-telethon&prev=/search%3Fq%3Djerry%2Blewis%2Btelethon%26rls%3Dcom.microsoft:fr-FR:IE-Address,

 et aussi, ses dons pour la danse … regardez : http://www.youtube.com/watch?v=CowekQq6kY8

Tout le monde n’aime pas les clowns burlesques… alors, pour  le sérieux, une visite sur un des sites du pasteur Louis Pernot consacré au Notre père ? http://notrepere.net/index.html en attendant que je peaufine le pot-pourri de références sur le sujet, en préparation mais toujours pas terminé pour cause de séjour hospitalier. Je vais bien, maintenant, merci. Reprise normale des activités lundi.

Demain, dimanche normal partout pour le culte : à Carcassonne,  Narbonne, Collioure et Perpignan. Horaires habituels. A Narbonne, ciné-théo en début d’après-midi : « Jésus de Montréal ». Samedi prochain, dans les P.O., concert « musicale d’Avent/Noël »en l’église de Cabestaby à 20 h 30 au profit de l’entraide de l’orphelinat à Bethlehem.

Les disciples ne nous montrent jamais le maitre amusant la galerie, mais son sens de l’humour affleure parfois… une piste à creuser… c’est en tout cas, dans la paix et avec un sourire qu’il pose sur vous son regard pour vous dire : et pour toi, l’Avent c’est quoi ? Lui n’a jamais su, mais ça l’intéresse, n’en doutez-pas. Il vous donne la parole… c’est le moment de la prendre et de dire… c’est à toi…

Amitiés

Jo

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6 décembre 2013 5 06 /12 /décembre /2013 09:48

A la découverte stupéfiée d’une interdiction générale du vaccin anti-polio est proclamée sur une grande partie du territoire

A entendre un iman influent déclarer que les pakistanais n’ont pas besoin d’un produit américain et juif…

A écouter le commentateur donner les chiffres alarmants des débuts d’une nouvelle épidémie qui pourrait se propager dans de nombreux pays et paralyser des milliers de personnes, car il n’y a pas d’âge pour être victime de ce sale virus.

Et aussi, j’ai admiré le courage des vaccinateurs et vaccinatrices qui risquent leur vie à chaque instant. 33 assassinats déjà !

(France 2 « Envoyé spécial » du 5 décembre 2013)

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3 décembre 2013 2 03 /12 /décembre /2013 19:59

Dans le jour, en Christ, une espèce de liturgie scande les heures : accueil, louange, repentance, pardon, volonté de Dieu  (la grâce est première, n’est-ce pas ?), Parole, méditation, prières qui se lèvent dans mon cœur selon les moments, les pensées, les évènements extérieurs, bénédiction, action de grâce… pas toujours dans le même ordre… et puis la nuit, tous les aléas de la vie, ruptures, maladie, deuils, etc. les questionnements, les révoltes, les colères, les refus… alors Il allume ses lampadaires… et je vois les obstacles et les chemins de passage. Dans cette nuit, depuis fort longtemps, une question : qui suis-je ? que suis-je ? qui est cette enfant élevée par obligation dans le catholicisme (mariage mixte) mais qui, dès ses 14 ans, a découvert pendant les fêtes de Pâques en plein Madrid qu’elle n’était pas ce que ses parents avaient décidé, et a choisi la voie du protestantisme réformé ? Alors le Seigneur allume les lampes et s’il ne me dit pas où marcher, Il éclaire mon chemin et dans la liberté m’appelle et m’accueille là ou je choisis d’aller.

 

Le MOOC est un de ces lampadaires dans la sombreur du questionnement ; en moi, plus aucun doute, il y a « du Calvin » comme on dit. Votre cours, chers enseignants, n’est pas simplement un enseignement, une instruction mais un marchepied éducatif dans ma vie en Christ et j’en rends grâce.

 

J’attends avec impatience le prochain MOOC. Cher professeur Demange, j’ai déjà aimé suivre deux cycles de conférences (ce n’était pas avec vous), mais dès que j’aurai terminé le cycle des 18 conférences sur les targoum de Marc Alain Ouaknin (mes premiers commentaires sont sur mon blog : http://lecoeuretlamain.over-blog.com) commencé quelques semaines avant le MOOC, je viendrai écouter votre cycle sur l’éthique de Calvin donné en 2009 : http://www.unige.ch/theologie/cite/conferences/audio.html

 

Pour tous les étudiant(e)s qui sont suivi le MOOC, vos cours peuvent donc continuer et se prolonger sur le site de la fac et toujours gratuitement. Le MOOC est clos, mais pas les partages des enseignants, les portes ouvertes sur la réflexion et le savoir,  c’est l’Académie du XXIe siècle !

 

Un immense merci à vous toutes et tous.

 

Peut-être dans le prochain MOOC, disposerez-vous d’un correcteur (c’est un métier en voie de disparition malheureusement) pour présenter des textes (même s’il faut les reconvertir, ce qui plus que doublé le temps hebdomadaire annoncé) exempts si ce n’est de coquilles (impossible à éviter) mais pour le moins de fautes d’orthographe et de grammaire. Ah ! les accords du participe passé ! et si un mot pris pour un autre peut passer à l’oral (choral / chorale) à l’écrit, ça fait un peu tache dans un niveau universitaire, surtout quand on essaie de s’en justifier avec Wikipédia… et les enseignants dont la langue maternelle n’est pas le français sont tout aussi excusés quand ils prennent un mot pour un autre (probablement des formes de translitérations ?).

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3 décembre 2013 2 03 /12 /décembre /2013 09:43

Une connaissance qui a fait de très hautes études, vit dans un milieu où les « intellos » surdoués et surdiplômés sont si imbus de leur personne qu’elle ne peut témoigner de sa foi. Cela la rendait fort triste. Alors, l’arbre qui est au milieu du jardin lui a expliqué comment lui, n’avait jamais baissé les bras, oh pardon ! je voulais dire les branches !

 

« Je suis l’arbre transplanté dans les jardins d’eau

A chaque saison

Voici mes fruits

Mon feuillage est vivant tout ce que je donne est bon

                        Ps. 1/3       

 

Il était une fois… un pommier mais à y regarder de plus près je crois bien que c’était une « pommière » ou dit-on « pommerelle », pomeresse  pomereuse ou pommiertrice ? en tout cas, quel bel arbre ! Dans son champ, tout près de la rivière et parmi tous les siens, fort et croulant sous le poids de ses pommes. Et il faut que je vous dise un secret : les pommiers, il leur arrive de parler ; oh ! pas tout le temps, ni même à tout le monde, mais quelquefois,  quand un promeneur prend place sous leur branchage et pour si peu que le courant passe entre eux, alors … alors, ils peuvent devenir si loquaces que même César, peuchère ! il ne pourrait en placer une … quoique, qui verrait César se promener dans un champ de pommiers ? y-a-t-il d’ailleurs des pommiers sur la Canebière ? Mais qu’est-ce que je raconte ? Le pommier donc, parle et les « pommières » aussi, c’est sûr d’ailleurs, à ce sujet, et pour rebondir sur l’histoire des terminaisons féminines... moi, je vous le dis, couper la parole à une de mes  compagnes arboricoles c’est pas de la tarte, de la tarte aux pommes, cela va dans dire ! Bon, je reprends.

« Me voilà, là, planté dans ce champ comme l’arbre du Psaume, près de l’eau, avec une terre si fertilisante et riche que j’en suis gavé de sève à n’en plus pouvoir, mais y en-a-t-il jamais assez ? Et mes fruits sont si ronds, et rouges,

 

luisants de la vie que je leur transmets et si appétissants qu’ils feraient le bonheur des « millions » [le pommier provençal à du lui déteindre un peu dessus] de sangliers qui passent par ici jour et nuit ; si, j’en suis sûr, j’arriverai bien à les dégouter des châtaignes, n’en déplaise à mes voisins du champ de l’autre côté de la rivière. Et bien, le croiriez-vous ? Pas plus tard qu’hier, une troupe d’humains a traversé le champ ; ils avaient une drôle de trombine, et ressemblaient bien peu au brave paysan qui chaque jour, vient prendre soin de moi, me chouchoute, me dorlote, me parle, caresse mes fruits, se pose là, bien campé sur ses jambes, et souffle de plaisir dans ce champ qui va lui offrir une si belle récolte. Pardon ? Non,  non, ce n’est pas l’âge et le chemin qui monte jusqu’à moi qui lui font perdre haleine ; c’est moi qui le fait respirer d’aise !

        Adonc que, ces humains-là, vous verriez leur accoutrement ! et les humaines ! perchées sur des espèces de hautes et minuscules branches luisantes, dépassant de leur tronc par le bas, ça leur donne une espèce de démarche : un coup je fais un trou dans la terre (pour planter quoi, je vous le demande), un coup je trébuche avec des marmonnements à moitié inexprimés dont je ne vous donnerai pas la teneur, même le vieil homme n’en dit pas de semblables.  Tous parlaient  avec des mots si compliqués que je n’arrivais pas à suivre leur conversation. Donc, ces humains-là passèrent près de moi ; incontinent, je tendis aussi loin que je pus mes branches les plus belles, mes pommes rougirent de plaisir à la pensée de se voir convoitées et vous savez quoi ? J’entendis des mots bizarres …et certains prononcés avec tant de mépris que je regrettais presque de n’être pas du bois à fouet, bien dur et affûté pour leur  en faire voir. Non mais, pommier oui, mais cévenol aussi !

« Tiens, des pommiers ».    

« Laisse donc, c’est d’un vulgaire ».

« Le Président ne mange que des kumquats » ( un de ces mots bizarres qui me sont inconnus : quelqu’un à la traduction en cévenol ?)

 

« Chez moi, il ne rentre que des fruits e-xo-ti-ques » ( je vais t’en faire voir des « exotiques » moi )

« De toute façon, il faudra les arracher ».

Arracher quoi ?????

« Nous pourrions en garder quelques-uns uns au milieu du complexe commercial ».

 un complexe commercial ? Est-ce une nouvelle maladie du commerce  ?

Je découvris alors avec stupéfaction que mes pommes ne les intéressaient pas. Comment cela est-il possible ? Elles sont si épatantes et il y a tant de façon de les accommoder. Et puis, je sais que d’autres pommiers les font de couleurs et de saveurs différentes, et, qu’à nous tous, et par l’Esprit Inventif qui nous donne la sève, nous pourrions nourrir le monde sans que jamais il ne s’en lasse tant nous sommes à la fois les mêmes et si divers.

Non, ils n’aiment pas les pommiers, ni les pommes. Peut-être n’en ont-ils jamais mangé ? Peut-être sont-ils tombés sur une de  ces pommes si acides que même le vinaigre n’en veut pas peuchère ! Peut-être en trouvent-ils le goût trop fade ? C’est qu’ils n’ont pas essayé une des miennes. Qui sait s’ils n’ont pas failli s’étouffer avec un petit morceau quand ils étaient enfants ?  Et si la branche qui supportait la balançoire dans leur jardin il y a bien longtemps car ils ont l’air si vieux, n’avait pas supporté leur poids les rendant à la terre d’un grand crac d’agacement ? Et si … et si … et si … va savoir..

Me voilà bien triste. Et que faire ? Je ne suis qu’un pommier. Je vis pour donner des pommes.

Allez, assez d’épanchements. Je sais ce que je vais faire : je vais tendre mes racines encore plus loin dans cette terre qui me nourrit et que j’aime, je vais me fortifier, je vais embellir, je vais faire des pommes magnifiques et qui sait si un jour, repassant dans le coin, l’un de ces humains n’aura pas appris à aimer les pommes ou bien sera dans un jour de fantaisie où l’envie lui prendra d’essayer quelque chose de nouveau, ou bien il se sera lassé des fruits « exotiques » et des

 

 

« kumquats » (je ne sais toujours pas ce que c’est…si quelqu’un pouvait éclairer ma lanterne… ), ou bien sa vie trop compliquée lui aura donné envie de se reposer dans du « simple ». Va savoir … 

En tous cas, ce dont je suis sûr, c’est que quelque part, un pommier lui est destiné, et quand il passera devant, il tendra la main pour en goûter son fruit. J’aimerais bien que ce soit moi, mais Celui qui nous plante, et nous nourrit, et prend soin de nous,  connaît tous les vergers de la planète, chaque pommier planté en Lui et se dressant vers Lui et même ceux d’ailleurs s’il y en a. A propos de planète, je me suis laissé dire que les humains marchent même dans les airs pour aller, ailleurs, chercher leurs fruits « exotiques » : mais le pommier qui m’a raconté ça, c’est un provençal qui doit aimer les blagues. Quand même.. dans les airs … un pommier dans l’air, ça donne quoi ?

Mais Lui, Celui qui offre les pommiers aux humains, (vous voyez de qui je parle) Il l’a dit et Il le fera. Pauvres humains, qui avec leurs « bac + 10 » croient qu’ils sont seuls à diriger leur vie. Et entre nous, « le vieux », quand il arrive pour la récolte, il a bien  plus de 10 bacs, lui. Alors, je vous le dis, je vous l’affirme, ces humains-là, bac+10 ou pas, un jour qu’ils seront dans un verger des îles, ou de la montagne où ils vont, paraît-il, se planter sur des bâtons pour glisser sur la neige (encore une galéjade du provençal…), ou peut-être tout simplement chez eux, Il leur dira… et ils entendront… et ils écouteront… Et ils se souviendront de ce pommier qui tout près d’ eux était si beau et avait l’air si joyeux comme planté au milieu de ses branches surchargées de pommes et ils auront envie, oui, ils auront envie, croyez-moi, non pas de manger une pomme mais de devenir pommier à leur tour. Et c’est ce qu’ils deviendront. N’y a t il rien de plus beau qu’un pommier ? Il n’y a rien de plus beau qu’un pommier... »

 

Sans jamais baisser les branches, oh, pardon, les bras, que ce temps de l’Avent soit temps de force et d’espérance, en Christ, pour chacun de vous.

Note de Joëlle

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